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TEXTES ET DOCUMENTS POUR L'ORTHOGRAPHE
Montferrier sur Lez le 07-Jui-2012

CM1
CM2

La planète bleue.

La terre est recouverte d'océans et de continents. Les mers, les océans, les lacs... recouvrent plus de soixante-dix pour cent de la surface terrestre. Les continents ont des reliefs plus ou moins élevés dont les plus hauts sont les montagnes : elles culminent quelquefois à plus de huit mille mètres. À une altitude beaucoup plus basse, les plaines sont souvent très étendues et peu accidentées. (facultatif)

La planète bleue.

La terre est recouverte d'océans et de continents. Les mers, les océans, les lacs... recouvrent plus de soixante-dix pour cent de la surface terrestre. Les continents ont des reliefs plus ou moins élevés dont les plus hauts sont les montagnes : elles culminent quelquefois à plus de huit mille mètres. À une altitude beaucoup plus basse, les plaines sont souvent très étendues et peu accidentées. La plus vaste est celle d'Amazonie traversée par un immense fleuve, l'Amazone. Ce cours d'eau traverse tout le continent sud-américain d'ouest en est et irrigue la plus grande forêt du monde, la forêt amazonienne. (facultatif)


Quelle frayeur !

Chaque semaine, Nico, la guitare à la main, emprunte le même chemin pour aller à l'école de musique. Ce matin, comme à son habitude, il salue la concierge de la rue des Fleurs qui balaie le trottoir. Sur son passage, le chat de gouttière du cordonnier soulève les paupières. (...)

 

Quelle frayeur !

Chaque semaine, Nico, la guitare à la main, emprunte le même chemin pour aller à l'école de musique. Ce matin, comme à son habitude, il salue la concierge de la rue des Fleurs qui balaie le trottoir. Sur son passage, le chat de gouttière du cordonnier soulève les paupières. Aujourd'hui, la grille du petit hôtel est ouverte. (...)

Magie de la musique.

L'homme ôte son chapeau, s'assoit au bord d'un bassin en face du café et se rafraîchit le visage d'un peu d'eau recueillie dans le creux de ses mains. Puis il sort de sa malle un petit accordéon aux couleurs vives qu'il pose sur ses genoux. Après un regard furtif pour les jeunes assis à la terrasse, il ferme les yeux et se met à jouer un air mélodieux.

Magie de la musique.

L'homme ôte son chapeau, s'assoit au bord d'un bassin en face du café et se rafraîchit le visage d'un peu d'eau recueillie dans le creux de ses mains. Puis il sort de sa malle un petit accordéon aux couleurs vives qu'il pose sur ses genoux. Après un regard furtif pour les jeunes assis à la terrasse, il ferme les yeux et se met à jouer un air mélodieux au rythme paisible. L'accordéon se déplie lentement, se referme, et la mélodie s'élève dans l'air.

Quelle splendeur !

Les montagnes majestueuses s'élevaient à une hauteur spectaculaire. Tous les sommets d'une blancheur uniforme étaient recouverts par les neiges éternelles. De notre refuge, nous n'entendions qu'un profond silence parfois entrecoupé d'un bruit sourd au-dessus de nous provenant du glacier dont nous venions d'affronter les crevasses./ Nous admirions la profondeur de la vallée et apercevions les chalets au milieu des alpages.

Quelle splendeur !

Les montagnes majestueuses s'élevaient à une hauteur spectaculaire. Tous les sommets d'une blancheur uniforme étaient recouverts par les neiges éternelles. De notre refuge, nous n'entendions qu'un profond silence parfois entrecoupé d'un bruit sourd au-dessus de nous provenant du glacier dont nous venions d'affronter les crevasses. Nous admirions la profondeur de la vallée et apercevions les chalets au milieu des alpages;/ à cette distance, ils semblaient n'être que de petits rectangles insignifiants. La course était sur le point de s'achever.

Souvenir d'enfance.

Quand j'étais petit, tous les matins ma mère et mon père m'obligeaient à avaler une solution imbuvable. Ils m'encourageaient à boire ce traitement qui avait la faculté de me faire grandir et de m'éviter les pires maladies. Ce liquide de couleur jaunâtre était visqueux, insoutenable à l'odeur et très désagréable au goût. Dans ces moments-là, le médecin et le pharmacien étaient mes pires ennemis ! L'insistance et la ténacité de mes parents finissaient par me faire ouvrir la bouche. J'avalais cette cuillerée qui me paraissait être une bolée tellement le goût était atroce.

Souvenir d'enfance.

Quand j'étais petit, tous les matins ma mère et mon père m'obligeaient à avaler une solution imbuvable. Ils m'encourageaient à boire ce traitement qui avait la faculté de me faire grandir et de m'éviter les pires maladies. Ce liquide de couleur jaunâtre était visqueux, insoutenable à l'odeur et très désagréable au goût. Dans ces moments-là, le médecin et le pharmacien étaient mes pires ennemis ! L'insistance et la ténacité de mes parents finissaient par me faire ouvrir la bouche. J'avalais cette cuillerée qui me paraissait être une bolée tellement le goût était atroce.

Une visite inquiétante.

On sonna à la porte. Julien, sortant de son sommeil, n'aurait pas su dire pourquoi mais il fut pétrifié. En effet, un détail lui paraissait inquiétant : ni sa mère ni sa soeur ne s'y prenaient ainsi lorsqu'elles oubliaient leurs clés. Le garçon resta silencieux car il savait que, de la rue, on voyait la lumière de l'appartement. En traversant le bureau sur la pointe des pieds.

Une visite inquiétante.

On sonna à la porte. Julien, sortant de son sommeil, n'aurait pas su dire pourquoi mais il fut pétrifié. En effet, un détail lui paraissait inquiétant : ni sa mère ni sa soeur ne s'y prenaient ainsi lorsqu'elles oubliaient leurs clés. Le garçon resta silencieux car il savait que, de la rue, on voyait la lumière de l'appartement. En traversant le bureau sur la pointe des pieds, il trébucha sur la corbeille au pied du fauteuil. Un grincement sourd indiqua clairement sa présence. Il resta terrorisé derrière la porte et ne bougea pas pendant de longues minutes qui lui parurent interminables. Enfin, il entendit les pas s'éloigner dans l'escalier.

En attendant le printemps.

Le jardinier s'affairera dans son potager. Avec son motoculteur, il retournera la terre pour la préparer à recevoir les semences. Muni d'un plantoir, il sèmera les graines et les alignera selon un plan bien précis afin de ne pas mélanger les différentes cultures. Ensuite, muni de son arrosoir, il les arrosera copieusement pour favoriser la germination. Il patientera jusqu'aux dernières gelées pour retirer définitivement les protections hivernales. Enfin, il nettoiera et rangera la petite mangeoire restée dans l'arbre tout l'hiver pour les oiseaux. Avec l'arrivée du printemps, la nature s'éveillera et les plantes grandiront.

En attendant le printemps.

Le jardinier s'affairera dans son potager. Avec son motoculteur, il retournera la terre pour la préparer à recevoir les semences. Muni d'un plantoir, il sèmera les graines et les alignera selon un plan bien précis afin de ne pas mélanger les différentes cultures. Ensuite, muni de son arrosoir, il les arrosera copieusement pour favoriser la germination. Il patientera jusqu'aux dernières gelées pour retirer définitivement les protections hivernales. Enfin, il nettoiera et rangera la petite mangeoire restée dans l'arbre tout l'hiver pour les oiseaux. Avec l'arrivée du printemps, la nature s'éveillera et les plantes grandiront.

On peut toujours rêver.

Si j'étais une sorcière, je serais bleue comme la mer. J'enfourcherais mon balai et je voyagerais partout dans le monde des couleurs. Le soleil me ferait des clins d'oeil jaunes quand je passerais devant lui. Même les ouragans gris n'oseraient plus s'approcher. Les hirondelles orange s'écarteraient pour me regarder voltiger avec légèreté. Quand je serais fatiguée, les nuages multicolores me prendraient en stop. Vous n'en croiriez pas vos yeux si vous me voyiez passer. Peut-être bien que vous me feriez des pieds de nez. Mais si vous pouviez monter derrière moi, et m'accompagner dans cette aventure colorée, je crois que cette fois-là vous vous amuseriez plus que vous ne le pensiez.

On peut toujours rêver.

Si j'étais une sorcière, je serais bleue comme la mer. J'enfourcherais mon balai et je voyagerais partout dans le monde des couleurs. Le soleil me ferait des clins d'oeil jaunes quand je passerais devant lui. Même les ouragans gris n'oseraient plus s'approcher. Les hirondelles orange s'écarteraient pour me regarder voltiger avec légèreté. Quand je serais fatiguée, les nuages multicolores me prendraient en stop. Vous n'en croiriez pas vos yeux si vous me voyiez passer. Peut-être bien que vous me feriez des pieds de nez. Mais si vous pouviez monter derrière moi, et m'accompagner dans cette aventure colorée, je crois que cette fois-là vous vous amuseriez plus que vous ne le pensiez.

NB : Les mots invariables sont en vert.

Le parc de la Vanoise.

Depuis sa création en mille neuf cent soixante-trois, des millions de personnes ont visité le parc de la Vanoise dominé par plus de cent sommets au coeur des Alpes. Une cinquantaine de refuges accueille les visiteurs pour leurs randonnées pédestres.
Six cents kilomètres de sentiers sont balisés pour le plus grand bonheur des touristes. Ils permettent aux promeneurs de découvrir et de photographier d'innombrables fleurs.

Le parc de la Vanoise.

Depuis sa création en mille neuf cent soixante-trois, des millions de personnes ont visité le parc de la Vanoise dominé par plus de cent sommets au coeur des Alpes. Une cinquantaine de refuges accueille les visiteurs pour leurs randonnées pédestres.
Six cents kilomètres de sentiers sont balisés pour le plus grand bonheur des touristes. Ils permettent aux promeneurs de découvrir et de photographier d'innombrables fleurs et des chamois en liberté ou des marmottes qui, auparavant, n'osaient plus sortir de leur terrier à cause des chasseurs.

Au bord de la mer.

Cette année, Annabelle passe ses vacances avec sa tante Isabelle. Comme elles adorent le soleil et les stations balnéaires, elles ont choisi un camping proche d'une belle plage de sable fin. À peine le montage de leur tente terminé, elles courent prendre leur premier bain.
« Ne rentre pas dans l'eau trop vite. Fais attention, crie Isabelle. On n'a pas fini de digérer. On est restée en plein soleil. Mouille-toi petit à petit. »
Tout à coup, on entend un appel venant du poste de secours : « Sortez de l'eau, un banc de méduses s'approche du rivage. » Un peu paniqués, les baigneurs s'en retournent sur la plage, délaissant pour un moment les plaisirs de l'eau. Malgré l'émotion, Annabelle et Isabelle en profitent pour s'allonger sous leur parasol et feuilleter des magazines. N'ont-elles pas toutes les vacances pour nager ?

Au bord de la mer.

Cette année, Annabelle passe ses vacances avec sa tante Isabelle. Comme elles adorent le soleil et les stations balnéaires, elles ont choisi un camping proche d'une belle plage de sable fin. À peine le montage de leur tente terminé, elles courent prendre leur premier bain.
« Ne rentre pas dans l'eau trop vite. Fais attention, crie Isabelle. On n'a pas fini de digérer. On est restée en plein soleil. Mouille-toi petit à petit. »
Tout à coup, on entend un appel venant du poste de secours : « Sortez de l'eau, un banc de méduses s'approche du rivage. » Un peu paniqués, les baigneurs s'en retournent sur la plage, délaissant pour un moment les plaisirs de l'eau. Malgré l'émotion, Annabelle et Isabelle en profitent pour s'allonger sous leur parasol et feuilleter des magazines. N'ont-elles pas toutes les vacances pour nager ?

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